« Dans la nuit, sur les côtes du midi de la France, cent navires à bout de souffle se sont échoués, chargés d’un million d’immigrants. Ils sont l’avant-garde du tiers-monde qui se réfugie en Occident pour y trouver l’espérance. À tous les niveaux, conscience universelle, gouvernements, équilibre des civilisations, et surtout chacun en soi-même, on se pose la question trop tard : que faire ? »
« La Peste » d’Albert Camus possède une dimension métaphysique et universelle qui permet d’éclairer des zones d’ombre qui planent sur la catastrophe nucléaire de Fukushima.
Une nouvelle édition revue et augmentée de La police des écrivains par Bruno Fuligni vient de ressortir aux Éditions Horay à Paris, et c’est un pur bonheur !
Dans « Vers une armée flamande ? » qui vient de paraître aux Éditions La Muette à Bruxelles, le journaliste Thierry Wagener, après une préface très avertie du professeur d’économie à l’UCL Michel Quévit (l’auteur d’un essai remarqué, « Flandre – Wallonie Quelle solidarité ? », paru à Charleroi chez Couleur livres et resté en travers de la gorge des nationalistes flandriens de tout poil), expose l’analyse du colonel Luc Gennart à propos de la flamandisation, depuis 2005, de notre bonne vieille ABL et de la prochaine délocalisation vers le plat pays de ce qui en subsiste encore d’important en Wallonie.
Rassemblant plus de 50 allocutions marquantes prononcées par des orateurs allant de Jésus à Obama en passant par Mahomet, Elisabeth Ire d’Angleterre, Mirabeau, Robespierre, Washington, Jefferson, Napoléon, Hugo, Lincoln, Woodrow Wilson, Lénine, Marie Curie, Mohandas Gandhi, Franklin Roosevelt, Hitler, Chamberlain, Staline, Churchill, de Gaulle, Molotov, Patton, Hirohito, Robert Oppenheimer, Jawaharlal Nehru, Krouchtchev, John Kennedy, Martin Luther King, Nelson Mandela, Malcolm X, Nixon, Indira Gandhi, Simone Veil, Chaïm Herzog, Anouar El-Sadate, Robert Badinter, Jean-Paul II, Reagan, Gorbatchev, Vaclav Havel, Élie Wiesel, George W. Bush et Gerry Adams, le recueil intitulé Ces grands discours qui ont changé le monde, paru aux Éditions Dunod à Paris, est un outil précieux pour qui veut comprendre notre époque comme elle va.
Ainsi donc, ce s(oci)alopard de Georges Rovillard, ci-devant maïeur de Fontaine-l’Évêque et administrateur général à la retraite de l’Agence wallonne pour l’intégration de la personne handicapée, va enfin devoir rendre des comptes à la Justice pour les innombrables malversations financières (son dossier d’instruction au Parquet compte pas moins de 29 cartons !) qu’il a commises avec la complicité de sa bobonne au détriment de ses administrés (qui l’avaient élu, les sots) et des bénéficiaires des aides – chroniquement insuffisantes, faute de moyens publics – de l’Agence wallonne pour l’intégration des personnes handicapées, en sigle AWIPH (des personnes pour qui il aura constitué un innommable handicap supplémentaire).