Musique… maestros !

Frédéric Gonin est professeur agrégé d’éducation musicale et chercheur associé (Lyon, CNRS). Docteur ès lettres et arts, il a fait ses études à Lyon, où il a obtenu un diplôme national d’études supérieures musicales en écriture. Il a consacré sa thèse de doctorat à l’écriture de la fugue chez les classiques viennois, Mozart et Haydn en particulier.

C’est donc très logiquement qu’il a fait paraître en Arles chez Actes Sud, dans la collection « Classica », un passionnant Joseph Haydn qui remet en perspective la vie et l’œuvre de ce compositeur capital dans l’histoire de la musique occidentale.

« Dans l’esprit du public, rappelle Frédéric Gonin, Joseph Haydn (1732-1809) demeure encore aujourd’hui à l’ombre de ses illustres cadets viennois : Mozart et Beethoven. C’est oublier que, de son vivant, Haydn était considéré comme le compositeur le plus talentueux de sa génération. Fondamentalement sédentaire, menant une vie rangée et bien peu romanesque, il a pourtant su bâtir une œuvre variée, riche[1] et personnelle, acclamée à juste titre aux quatre coins de l’Europe. Mozart le considérait d’ailleurs comme son père spirituel, et Beethoven, un temps son élève, s’est fondamentalement inspiré de sa science de la composition, à la fois sensible et intelligente. »

De son côté, Xavier Lacavalerie, ancien élève de l’École normale supérieure de Saint-Cloud, a été grand reporter à Télérama et il collabora régulièrement à la revue Classica. Il est l’auteur, chez le même éditeur, d’une biographie du musicien russe Nikolaï Rimski-Korsakov.

« Selon un cliché qui a la vie dure, Rimski-Korsakov (1844-1908) serait l’auteur de quelques pièces pour orchestre (Schéhérazade, Capriccio espagnol, La Grande Pâque russe…) trop populaires pour être honnêtes. Lui qui a édité la partition de Boris Godounov serait également coupable d’avoir mutilé les œuvres de ses compatriotes Alexandre Borodine ou Modeste Moussorgski… Ce livre entend réfuter ce fatras d’accusations et de jugements à l’emporte-pièce qui ne résistent guère à l’analyse.

À qui sait aller au-delà des apparences ou des présupposés, Rimski-Korsakov apparaît tel qu’il est : un homme attachant, qui occupa discrètement une place essentielle dans la grande aventure musicale de la Russie de la seconde moitié du XIXe siècle, auteur de mélodies, musiques de chambre, symphonies, et de nombreux opéras, qui mirent des décennies à s’imposer au répertoire et qui sont d’admirables réussites, comme Kitège ou son chant du cygne, l’ébouriffant Coq d’or. » [2]

Enfin, Bertrand Dermoncourt est directeur de la rédaction de la revue Classica et critique musical à L’Express. Il s’est penché, quant à lui, sur la vie et l’œuvre d’Igor Stravinski (1882-1971) dont il écrit qu’il « aura été le Picasso de la musique du XXe siècle. Explorateur de lui-même, doré d’une rare aptitude à changer de modèle et de forme tout en maintenant intact son style, il se livra à une perpétuelle réinvention. Russe symboliste et avant-gardiste dans les années 1910, l’auteur du Sacre du printemps inventa ensuite de nouvelles manières, volontairement cosmopolites, impersonnelles et antiromantiques. Particulièrement complexes, sinon paradoxaux, l’homme et l’œuvre[3] sont replacés dans leur contexte, riche de rencontres fructueuses et d’enjeux toujours brûlants. »

Comme tous les volumes de la collection « Classica », ces trois ouvrages sont enrichis d’un index, de repères bibliographiques et d’une discographie.

PÉTRONE

Joseph Haydn par Frédéric Gonin, Arles, Actes Sud, collection « Classica », octobre 2014, 160 pp. en noir et blanc au format 10 x 19 cm sous couverture brochée en quadrichromie, 16,50 € (prix France)

Rimski-Korsakov par Xavier Lacavalerie, Arles, Actes Sud, collection « Classica », octobre 2013, 199 pp. en noir et blanc au format 10 x 19 cm sous couverture brochée en quadrichromie, 20 € (prix France)

Igor Stravinski par Bertrand Dermoncourt, Arles, Actes Sud, collection « Classica », mai 2013, 205 pp. en noir et blanc au format 10 x 19 cm sous couverture brochée en quadrichromie, 18,50 € (prix France)


[1] Avec 107 symphonies, 16 ouvertures, 24 divertimenti, 8 nocturnes, 6 scherzandos, 83 quatuors à cordes, 11 divertimenti à trois voix, 31 trios à cordes, 6 duos pour violon et alto, 4 concertos pour violon, 2 pour violoncelle, 1 pour contrebasse, 3 pour cor, 1 pour trompette, 1 pour flûte, 5 pour lire organizzate, 8 marches, diverses danses, menuets, allemandes, trios, œuvres diverses pour baryton (octuors, quintettes, duos), 126 trios pour baryton, 3 concertos pour baryton, 16 concertinos pour clavier et cordes, 45 trios avec clavier, 62 sonates pour clavier, diverses pièces pour clavier, 11 concertos pour clavier, des pièces pour horloge musicale, Les Sept Dernières Paroles du Christ en croix (version originale et transcriptions), des duos, trios et quatuors vocaux, 3 oratorios (Il ritorno di Tobia, La Création, Les Saisons), 14 messes, des œuvres religieuses diverses, 11 cantates et chœurs profanes avec orchestre, 24 airs profanes avec orchestre, des lieder avec accompagnement de piano, des cantates et chœurs avec instruments, 10 canons religieux et 47 canons profanes, 13 opéras italiens, des opéras pour marionnettes et singspiels, des musiques de scène, des arrangements et des pasticcios…

[2] Opéras : La Pskovitaine ou La Jeune Fille de Pskov (1873), Nuit de mai (1880), La Demoiselle des neiges (1880-1881), Mlada (1889-1890), La Nuit de Noël (1895), Sadko  (1896), Mozart et Salieri (1897), La Fiancée du tsar (1898), Le Conte du tsar Saltan (1899-1900), Servilia (1902), Kachtcheï l’immortel (1901-1902), Pan Voyevoda (1904), La Légende de la ville invisible de Kitège et de la demoiselle Fevronia (1904), Le Coq d’or (1906-1907). Œuvres orchestrales et concertantes : Symphonie no1 en mi mineur (1861-65, rév.1884), Ouverture sur trois thèmes russes (1866, rév.1879-80), Sadko, poème symphonique (1867, rév.1869-92), Fantaisie sur des thèmes serbes (1867, rév.1886-87), Symphonie no2 « Antar » (1868, rév.1875-97), Symphonie no3 en ut majeur (1866-73, rév.1886), Concerto pour trombone et musique militaire (1877), Variations pour hautbois et musique militaire (1877), Concerto pour clarinette et musique militaire (1878), Skazka (« Conte de Fée », 1879-80), Concerto pour piano en ut dièse mineur (1882-83), Sinfonietta sur des thèmes russes (1880-84), Fantaisie de concert sur deux thèmes russes pour violon et orchestre (1886-87), Capriccio espagnol (1887), Schéhérazade, suite symphonique (1888), La Grande Pâque russe (1888), Souvenirs de trois chants polonais pour violon et orchestre (1888), Sérénade pour violoncelle et orchestre (1893, orchestration, 1903), Le Vol du Bourdon, interlude musical tiré de l’opéra Tsar Saltan (1899), Au tombeau, déploration sur la mort de Mitrofan Belaïeff pour orchestre (1904), Doubinouchka, poème symphonique (1905-06). Œuvres chorales : Le Dit d’Alexis, homme de Dieu pour chœur et orchestre (1878), Svitezianka pour soprano et ténor, chœur mixte et orchestre (1897), Le Dit d’Oleg le Sage pour voix d’hommes et orchestre (1899), Extrait d’Homère, prélude-cantate pour voix de femmes et orchestre (1901). Mélodies : Quatre Romances, op. 2 (1865-66), Quatre Romances, op. 3 (1866), Quatre Romances, op. 4 (1866), Quatre Romances, op. 7 (1867), Six Romances, op. 8 (1868-70), Deux Romances, op. 25 (1870-76), Quatre Romances, op. 26 (1882), Quatre Romances, op. 27 (1883), Quatre Romances, op. 39 (1897), Quatre Romances, op. 40 (1897), Quatre Romances, op. 41 (1897), Quatre Romances, op. 42 (1897), Quatre Romances, op. 43 « Au Printemps » (1897), Cinq Romances, op. 45 « Au Poète » (1897), Cinq Romances, op. 46 « Au bord de la mer » (1897), Quatre Romances, op. 50 (1897-98), Cinq Romances, op. 51 (1897), Quatre Romances, op. 55 (1897-98), Deux Romances, op. 56 (1898), Antchar, drevo smerti, air de concert pour basse et orchestre (1897), Prorok (« Le Prophète »), air de concert pour basse et orchestre (1897). Musique pour piano : Quatre pièces pour piano (1875), Trois pièces pour piano (1876). Musique de chambre : Quatuor à cordes en fa majeur (1875), Sextuor à cordes en la majeur (1876), Quintette pour piano et vents en si bémol majeur (1876), Allegro pour quatuor à cordes (1882), Trio pour piano et cordes en ut mineur (1897).

[3] Tarantella, œuvre inédite pour piano (1898), Nuages d’orage, romance pour voix et piano (1902), Scherzo pour piano (1902), Sonate pour piano en fa dièse mineur (1904), Cantate, œuvre perdue pour chœur mixte et piano (1904), Les Champignons vont à la guerre pour basse et piano (1904), Conductor and Tarantula, œuvre perdue pour voix et piano (1906), Symphonie en mi bémol, op. 1 pour orchestre (1907-1913), Faune et bergère, op. 2, trois mélodies sur des textes de Pouchkine pour mezzo-soprano et orchestre (1907), Pastorale, chant sans paroles pour soprano et piano (1907), Pastorale, chant sans paroles pour soprano, hautbois, cor anglais, clarinette et basson (1923), Pastorale, chant sans paroles pour violon, ensemble instrumental ou piano (1933), Deux Mélodies, op. 6 pour mezzo-soprano et piano (1907-1908), Scherzo fantastique, op. 3 pour orchestre (1908-1930), Feu d’artifice, op. 4, fantaisie pour grand orchestre (1908), Chant funèbre, op. 5, œuvre perdue pour instruments à vent (1908), Quatre Études, op. 7 pour piano (1908), Kobold (Grieg), orchestration, œuvre inédite (1909), Nocturne en la bémol, orchestration de l’op. 32 n°2 de Chopin, œuvre inédite pour orchestre (1909), Valse brillante en mi bémol, orchestration de l’op. 18 de Chopin, œuvre inédite                 pour violon et orchestre(1909), Mephistopheles’ Lied vom Floh, transcription de l’op. 75 n°3 de Beethoven pour basse et orchestre(1909), Chanson de Méphistophélès dans la cave d’Auerbach (Moussorgski), transcription pour baryton ou basse et orchestre (1910), L’Oiseau de feu, conte dansé en deux tableaux d’après un conte national russe pour orchestre (1910/1919), L’Oiseau de feu, suite symphonique (1911-1919-1945), Deux Poèmes de Paul Verlaine, op. 9 pour baryton et piano(1910), Deux Poèmes de Paul Verlaine, op. 9 pour baryton et petit orchestre(1951), Petrouchka, scènes burlesques en quatre tableaux pour orchestre (1911-1945 ; 1947-1965), Petrouchka, suite symphonique pour orchestre (1911-1947), Trois Mouvements de Petrouchka pour piano (1921), Deux Poèmes de Constantin Balmont pour voix aiguë et piano (1911-1947), Deux Poèmes de Constantin Balmont pour voix aiguë, 2 flûtes, 2 clarinettes, piano et quatuor à cordes (1954), Zvezdoliki (« Le Roi des Étoiles »), cantate pour chœur d’hommes et orchestre (1911-1912), Trois Poésies de la lyrique japonaise pour voix aiguë et piano ou 2 flûtes, 2 clarinettes, piano et quatuor à cordes, (1913), Le Sacre du printemps, tableaux de la Russie païenne en deux parties pour orchestre (1913-1947-1967), Trois petites chansons (Souvenir de mon enfance) pour voix et piano (1913), Trois petites chansons (Souvenir de mon enfance) pour voix et petit orchestre (1929-1930), La Khovanchtchina (Moussorgski), orchestration, avec Maurice Ravel (1913), Le Rossignol, conte lyrique en trois actes d’après Andersen, pour voix et orchestre (1908-1914-1962), Trois Pièces pour quatuor à cordes (1914-1918), Pribaoutki, chansons plaisantes pour voix et 8 instruments (1914), Valse des fleurs (Tchaïkovski), arrangement pour 2 pianos (1914), Trois Pièces faciles, Main gauche facile pour piano à quatre mains (1914-1915), Souvenir d’une marche boche pour piano (1915), Berceuses du chat pour contralto et 3 clarinettes (1915-1916), Renard, histoire burlesque chantée et jouée pour 2 ténors, 2 basses et ensemble instrumental (1916), Cinq Pièces faciles Main droite facile pour piano à quatre mains (1917), Le Chant du rossignol, poème symphonique (1917), Trois Histoires pour enfants pour voix et  piano (1915-1917), Tilim-bom pour voix et orchestre (1923), Valse pour les enfants pour piano (1916-1917), Pour Picasso pour clarinette (1917), Chant des bateliers de la Volga, orchestration pour vents et batterie  (1917), Quatre Chants paysans russes pour chœur de femmes (1914-1917), Quatre Chants paysans russes pour chœur de femmes et 4 cors (1954), Canons pour deux cors, œuvre perdue (1917), Madrid, étude pour pianola (1917), Berceuse pour voix et piano (1917), L’Histoire du soldat lue, jouée et dansée par 3 récitants et 7 instrumentistes (1918), L’Histoire du soldat, suite de concert pour clarinette, basson, cornet à piston, trombone, violon, contrebasse et batterie (1920), Ragtime pour 11 instruments (1918), Trois Pièces pour clarinette seule (1918), Prologue de Boris Godounov (Moussorgski), arrangement pour piano (1918), Lied ohne Namen pour 2 bassons(1918), La Marseillaise (Rouget de Lisle), arrangement pour violon (1919), Quatre Chants russes pour voix et piano (1918-1919), Piano-rag-music (1919), Pulcinella, ballet en un acte, d’après des thèmes et des fragments musicaux de Pergolèse pour soprano, ténor, basse et petit orchestre (1920-1965), Pulcinella, suite d’orchestre (1922-1949), Suite italienne pour violoncelle et piano (1932), Suite italienne pour violon et piano (1933), Concertino pour quatuor à cordes (1920), Concertino pour douze instruments, transcription pour ensemble de chambre du précédent (1952), Symphonies d’instruments à vent (1920-1947), Les Cinq Doigts, huit petites pièces très faciles sur cinq notes pour piano (1921), Variation de la fée des lilas de La Belle au bois dormant (Tchaïkovski), arrangement pour orchestre (1921), Entr’acte de La Belle au bois dormant (Tchaïkovski), arrangement pour violon et orchestre (1921), Suite n°2 pour petit orchestre  (1921), Mavra, opéra bouffe en un acte d’après Pouchkine pour voix et orchestre (1922-1947), Les Noces, scènes chorégraphiques russes avec chant et musique pour voix, chœur mixte, 4 pianos et percussions (1917-1923), Octuor pour instruments à vent (1923-1952), Concerto pour piano et instruments à vent (1924-1950), Sonate pour piano (1924), Sérénade en la pour piano (1925), Suite n°1 pour petit orchestre (1925), Otche Nash’ (Pater Noster) pour chœur mixte (1926-1949), Œdipus Rex, opéra-oratorio en deux actes d’après Sophocle, pour récitant, voix et orchestre (1927-1948), Apollon musagète, ballet en deux tableaux pour orchestre à cordes (1928/1947), Quatre Études pour orchestre (1914-1929), Le Baiser de la fée, ballet allégorique en quatre tableaux pour orchestre (1928-1950), Capriccio pour piano et orchestre (1929-1949), Symphonie de psaumes pour chœurs et orchestre (1930-1948), Concerto en ré pour violon et orchestre (1931), Duo concertant pour violon et piano (1932), Simbol’ vyeri (Credo) pour chœur mixte (1932-1949-1964), Perséphone, mélodrame en trois tableaux d’André Gide pour récitante, ténor, chœurs et orchestre (1934-1949), Bogoroditse D’vo (Ave Maria) pour chœur mixte (1934-1949), Divertimento extrait du Baiser de la fée pour orchestre (1934), Divertimento pour violon et piano (1934), Concerto pour deux pianos solo (1935), Jeu de cartes, ballet en trois donnes pour orchestre (1936), Petit Ramusianum Harmonique, trois quatrains pour voix seules (1937), Concerto en mi bémol Dumbarton Oaks pour orchestre de chambre (1938), Symphonie en ut pour orchestre (1940), Tango pour orchestre (1940), The Star-Spangled Banner (Smith), orchestration de l’hymne national américain pour chœur et orchestre (1941), Bluebird, pas-de-deux de La Belle au bois dormant (Tchaïkovski), transcription pour petit orchestre (1941), Danses concertantes pour orchestre de chambre (1942), Circus Polka composée pour un jeune éléphant pour orchestre (1942), Quatre Impressions norvégiennes pour orchestre (1942), Ode, chant élégiaque en trois parties pour orchestre (1943), Babel, cantate pour chœur d’hommes, orchestre et récitant (1944), Sonate pour deux pianos (1944), Scherzo à la russe pour ensemble de jazz (1944), Scherzo à la russe (transcription du précédent) pour orchestre (1945), Scènes de ballet pour orchestre (1944), Élégie pour alto (ou violon) seul (1944), Symphonie en trois mouvements pour orchestre (1945), Ebony, concerto pour clarinette et ensemble de jazz (1945), Concerto en ré pour orchestre à cordes (1946/1946), Hommage à Nadia Boulanger pour 2 voix (1947), Orphée, ballet en trois scènes pour orchestre (1947), Messe pour chœur mixte et 2 quintettes à vent (1948), The Rake’s Progress (« La Carrière d’un libertin »), opéra en trois actes (1948-1951), Cantate pour soprano, ténor, chœur de femmes et petit ensemble instrumental (1952), Septuor pour clarinette, cor, basson, piano, violon, alto et violoncelle (1953), Præludium pour ensemble de jazz (1953), Trois Chants de W. Shakespeare pour mezzo-soprano, flûte, clarinette et alto (1953), In memoriam Dylan Thomas pour ténor, quatuor à cordes et 4 trombones (1954), Quatre Chants pour chant, flûte, harpe et guitare (1954), Greeting Prelude pour orchestre (1955), Canticum Sacrum ad honorem Sancti Marci nominis pour ténor, baryton, chœur mixte et orchestre (1955), Variations canoniques sur le choral de Noël « Von Himmel hoch da komm ich her » (J.-S. Bach) pour chœurs et orchestre (1956), Agon, ballet pour douze danseurs et orchestre (1957), Threni : id est Lamentationes Jeremiæ prophetæ pour 6 solistes, chœurs mixtes et orchestre (1958), Mouvements pour piano et orchestre (1959), Épitaphe à la mémoire du prince de Fürstenberg pour flûte, clarinette et harpe (1959), Tres sacræ cantiones (Gesualdo) pour chœur mixte et orchestre (1959), Double canon pour quatuor à cordes (1959), Monumentum pro Gesualdo di Venosa ad CD Annum, trois madrigaux de Gesualdo pour orchestre (1960), A Sermon, a Narrative and a Prayer, cantate pour contralto, ténor, récitant, chœur mixte et orchestre (1961), Anthem The Dove descending breaks the air pour chœur (1962), Huit Miniatures instrumentales pour 15 instruments (1962), The Flood (« Le Déluge »), jeu musical pour voix et orchestre (1962), Abraham et Isaac, ballade sacrée pour baryton et orchestre de chambre (1963), Canzonetta, transcription de l’opus 42a de Sibelius pour clarinette, clarinette basse, 4 cors, harpe et contrebasse (1963), Élégie pour J. F. K. pour baryton (ou mezzo-soprano) et 3 clarinettes (1964), Fanfare pour un nouveau théâtre pour 2 trompettes (1964), Variations Aldous Huxley in memoriam pour orchestre (1964), Introïtus T. S. Eliot in memoriam pour chœur d’hommes et ensemble de chambre (1965), Canon pour Introduction de concert ou Encore pour orchestre (1965), Requiem canticles pour contralto, basse, chœur mixte et orchestre (1966), The Owl and the Pussy-cat (« Le Hibou et le chat »), chant et piano (1966), Deux chants sacrés (Wolf) pour mezzo-soprano, 3 clarinettes, 2 cors, 2 violons, alto, violoncelle et contrebasse (1968), Quatre Préludes et Fugues (J.-S. Bach), transcription des préludes et fugues n°10 du Livre I, n°6 du Livre II et n° 24 et 4 du Livre I du Clavier bien tempéré, œuvre inachevée pour 3 clarinettes, 2 bassons et cordes.

Date de publication
samedi 7 février 2015
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