N’en déplaise à la N-VA et à ses séides, la Flandre ne fut pas durant la Seconde Guerre mondiale, et loin s’en faut, un repaire de collaborateurs du nazisme comme l’ont été les ascendants de Bar(s)t de Wever et de Jan Peumans qui se revendiquent en 2011, au nom d’un nationalisme ignare, des hauts faits de trahison commis par les membres de leur famille.
« Celui qui ignore l’histoire se condamne à la revivre », assurait Winston Churchill, le vainqueur de la bête immonde qui renaît aujourd’hui en Flandre sous forme d’immondices cérébraux professés par « l’homme le plus intelligent » de son village et par ses amis aux idées puantes.
Plutôt que de donner foi aux assertions scandaleuses d’un pseudo-historien ou d’un instituteur rabique, nous préférons pour notre part nous incliner devant un grand Flamand, un homme, un vrai…
Merci, Monsieur Henri Cornelis…
PÉTRONE