Le « ténor du barreau flamand » – un baveux de village, donc – Vic Van Aelst, qui est aussi un suppôt de la N-VA comme on les aime (« si la connerie se mesurait, il servirait de mètre-étalon », aurait pu dire de lui le regretté Michel Audiard), a déclaré au quotidien De Morgen qu’il fallait cesser d’enseigner le français aux Flamands, à prétexte que cette langue n’est parlée que par 3% de personnes dans le monde.
Dont acte.
Mais pourquoi diantre cet obscur robin fait-il tant de cas du dialecte flamoutche qui, lui, n’est parlé que par 3% des personnes à Bruxelles ?
PÉTRONE