Outre Globe Story paru en 2005 aux Éditions Complicités et Braine Blues chez Luc Pire en 2011 et après Le cadeau de Léa (2008), Baruffa (2009), La prophétie du jaguar (2011), La vie selon Hope (2013) et Zebraska (2014, sur les heurs et malheurs d’un enfant « à haut potentiel »), qui a rencontré un grand succès, Isabelle Bary (1968–) publie son sixième roman chez Luce Wilquin, Ce qu’elle ne m’a pas dit, cette fois sur le thème des secrets de famille.
En voici le pitch :
« Quel est le point commun entre une quadragénaire moderne, belge et blonde du XXIe siècle et un trappeur amérindien né dans les années vingt ? Le sang !
Marie a quarante-sept ans. Avec Alex, son mari, et Nola, leur fille de seize ans, ils forment une famille bourgeoise contemporaine : un boulot accaparant, une indispensable vie sociale, un chien à poils longs, des engueulades et des fous rires, des sushis le samedi, des impertinences d’ado avec un peu d’herbe fumée en cachette et, bien sûr, toujours trop d’Internet. Rien d’extraordinaire, en somme.
Mais ça, c’était avant. Avant que Marie découvre le secret bien gardé du passé passionné et violent qui est le sien. »
On s’en voudrait, bien entendu, de déflorer l’intrigue, aussi insisterons-nous sur les qualités littéraires de l’ouvrage, habilement construit et remarquablement mené, dont la narration est une belle mécanique d’horlogerie fine usant des flash-back avec dextérité.
De la bien belle ouvrage !
PÉTRONE
Ce qu’elle ne m’a pas dit par Isabelle Bary, Avin, Éditions Luce Wilquin, collection « Sméraldine », septembre 2016, 254 pp. en noir et blanc au format 14,2 x 20 cm sous couverture brochée en couleurs, 20 €