Auteure de films documentaires culturels et animatrice d’émissions dédiées à l’histoire, Diane Ducret est écrivain et essayiste. En 2011, elle publie son premier livre, « Femmes de dictateur » (aux Éditions Perrin), best-seller en France, en Russie, en Pologne, en Turquie… et traduit dans dix-huit langues.
Rédigé par Émilienne Angle et François Bernaschina, le beau livre intitulé « De Lescarpin ® au stiletto » paru chez Favre à Lausanne se penche avec originalité sur la création contemporaine en matière de chaussures féminines à talons hauts, qu’ils soient aiguilles ou anglais, à gorge, en bobine, en boule ou en cage, mais aussi en lame, en torpille, en épine, escamotables voire télescopiques.
S’en prenant, ce mercredi 12 septembre 2012, à la demande (éminemment suspecte, il est vrai) d’accession à la nationalité belge du milliardaire français Bernard Arnault, le très parisien – ce n’est pas nécessairement un compliment – « Canard enchaîné », sous la plume de Jean-Michel Thénard, écrit dans un article intitulé « Il était Arnault une fois » (Kolossale Finesse !) que « le roi Baudouin peut […] lui dire merci »…
Le 24 avril 1945, des soldats russes prennent le contrôle du quartier Wedding à Berlin et découvrent un bâtiment à peu près intact abritant plusieurs centaines de personnes – médecins, infirmières, malades, personnel non médical, et un groupe d’individus hétérogène. Un homme s’avance : « Ceci est l’hôpital juif. Nous sommes juifs ». Les Russes sont incrédules, persuadés que tous les Juifs d’Allemagne étaient morts.
Aussi invraisemblable que cela puisse paraître, une petite commune belge des Cantons de l’Est constitua de 1816 à 1919 un État indépendant de 3,5 km², le Moresnet neutre, disposant d’un « gouvernement », d’une monnaie, d’un drapeau, de timbres-postes (pendant deux semaines, du 5 au 19 octobre 1886) et d’une langue nationale… l’espéranto.
Depuis plus d’une semaine, la chose fait autant de bruit et est aussi transparente que les vitres d’une grosse 4×4 éructant du rap sur une avenue américaine.
Pascal Nègre, patron d’Universal ne vend plus de cd, mais il se recycle.