Fin juin 2012 : nous voilà arrivés à la phase où, après de nombreuses auditions, les parlementaires des cinq partis (CDH, ECOLO, FDF, PS et MR) tentent de se mettre d’accord pour proposer à la ministre de l’Audiovisuel Fadila Laanan des conclusions communes concernant l’élaboration du prochain contrat de gestion 2013 de la RTBF.
À La Louvière, le Centre de la Gravure fut le premier musée à pratiquer la gratuité du premier dimanche du mois en Belgique.
Dix ans plus tard, 49 musées belges sont désormais accessibles gratuitement ce jour-là. Et ce n’est qu’un début ! On en prévoit une centaine pour l’Année européenne de la Culture à Mons. Pourquoi pareille évolution ? Notamment parce que cette obligation de gratuité entre dans la définition même d’un musée pour être reconnu, et donc subsidié en Fédération Wallonie-Bruxelles.
Sur son mur de Facebook, pendant une semaine, Bernard Hennebert, auteur de « RTBF, le désamour » paru aux Éditions Couleur livres propose, jour après jour, un des sept épisodes de son feuilleton « Une semaine en « prime-time » sur La Une, juste dix ans après l’arrivée de Jean-Paul Philippot à la tête de la RTBF ».
Pour la prochaine (sans doute) déclaration gouvernementale fédérale, les revendications commencent à fleurir.