N’en déplaise à la N-VA et à ses séides, la Flandre ne fut pas durant la Seconde Guerre mondiale, et loin s’en faut, un repaire de collaborateurs du nazisme comme l’ont été les ascendants de Bar(s)t de Wever et de Jan Peumans qui se revendiquent en 2011, au nom d’un nationalisme ignare, des hauts faits de trahison commis par les membres de leur famille.
Le nationalisme flamand, c’est bien connu, se fonde sur quatre piliers : le mensonge, l’ignorance, la bêtise et la suffisance.
Le 3 février dernier, le comédien flamand Jan Decleir, un « Bekende Vlaming », a envoyé balader Jan Peumans, le douteux président N-VA du parlement flamand qui voulait lui remettre une breloque, en prononçant ces mots d’une belle virilité : « Pas question que j’accepte une médaille de ce type ! ».
Le service public est tombé bien bas, on le savait déjà, mais là il faut l’avouer, on atteint des sommets.
Les aventures en bandes dessinées muettes de Dickie, Le fils d’Hitler (par Pieter De Poortere aux Éditions Glénat) laissent le lecteur pantois !