Le moins que l’on puisse dire, c’est que l’auteur a le regard perçant quand, avec 35 à 75 ans d’avance, en plus des troubles de la décolonisation, d’une guerre en Algérie, de la création de l’ONU et de l’instauration de l’Union européenne avec Bruxelles pour capitale
Jean-Claude Servais, le dessinateur gaumais bien connu, a relevé un challenge de taille : créer en deux tomes sobrement intitulés Orval une bande dessinée dont l’héroïne principale est la tout aussi gaumaise abbaye brassicole.
C’était prévisible comme la fin d’un téléfilm le dimanche soir sur TF1, Mgr Léonard éternue et une batterie d’audacieux moralistes élevés en liberté s’empresse de monter au front.
Ça nous revient de auditu, comme dirait Babart qui a toujours le mot latin pour rire. Mais cet ouï-dire n’a rien de banal. Rien à voir avec cette rumeur de caniveau qui susurre qu’Albert aurait pu passer la main en décembre à Philippe en point d’orgue de la présidence belge de l’Union. Le ragot aurait […]