Nicolas Werth, spécialiste de l’URSS, dans « Scandale musical à Moscou, 1948 », la présentation et la traduction d’un fort bel opus écrit par son aïeul à la fin des années 1940.
Dans La Grèce de A à Z paru chez André Versaille à Bruxelles, l’historien Constantin Prévélakis –il est docteur en Sorbonne – fait le point, en une bonne soixantaine d’entrées, sur un pays qui, s’il traverse aujourd’hui des difficultés économiques et sociales considérables, n’en fut pas moins l’un des principaux berceaux de la civilisation occidentale.
On ne le sait que trop peu : à toutes les époques, les paysages de Wallonie ont séduit les écrivains qui ont eu l’heur de les admirer et qui ne se sont pas privés de le faire savoir.
Nous nous faisions l’écho, le mois dernier, des premières escarmouches dont retentit la forêt de Sherwood lorsque Dame Joëlle entraîna ses mercenaires vêtus d’orange dans une guérilla inattendue contre un décret « Robin des Bois » pourtant précédemment avalisé par son parti et toujours défendu bec et ongles par les troupes rouges et vertes de ses (ex ?) alliés gouvernementaux.