Avec la députée européenne Rachida Dati et sa fellation galopante, avec le ministre de l’Intérieur français Brice Hortefeux et ses prises d’empreintes génitales, et avec l’archevêque de Belgique et ses mariages très chauds, pas à dire, un peu partout ces temps-ci, la droite redresse résolument… la bête !
Pas mal dans le rôle de « défibrillateur », Vande Lanotte. « Le Gitan » comme on le surnommait à l’époque où il n’était encore que le chef de cab de Louis Tobback.
Le moins que l’on puisse dire, c’est que l’auteur a le regard perçant quand, avec 35 à 75 ans d’avance, en plus des troubles de la décolonisation, d’une guerre en Algérie, de la création de l’ONU et de l’instauration de l’Union européenne avec Bruxelles pour capitale
Jean-Claude Servais, le dessinateur gaumais bien connu, a relevé un challenge de taille : créer en deux tomes sobrement intitulés Orval une bande dessinée dont l’héroïne principale est la tout aussi gaumaise abbaye brassicole.