Honte à ceux qui aujourd’hui en Ménapie, par pure crapulerie (c’est-à-dire pour le fric et rien d’autre…) à l’instar des abjects Bart De Wever et Jan Peumans, ou par bêtise électoraliste comme Stefaan De Clercq, exigent l’amnistie et l’oubli des crimes commis par les flamingants durant la Seconde Guerre mondiale !
Une nouvelle traduction des Tragédies de Sénèque par Olivier Sers vient de paraître aux Éditions Les Belles Lettres à Paris en version bilingue latin-français, l’occasion de redécouvrir l’œuvre et la pensée d’un philosophe majeur de l’école des stoïciens qui fut aussi dramaturge et homme d’État.
Ainsi donc, les anciens combattants des grandes grèves enseignantes de 1990 et 1996 ont ressorti leur épée du fourreau, entraînant avec eux quelques-uns de leurs jeunes collègues (si tant est qu’ils en trouvent, pénurie oblige…).
Le nationalisme flamand, c’est bien connu, se fonde sur quatre piliers : le mensonge, l’ignorance, la bêtise et la suffisance.
Le moins que l’on puisse dire, c’est que le nouveau roman noir de l’académicien belge (par ailleurs aux antipodes de toute forme d’académisme) Jean-Baptiste Baronian, intitulé « Dans les miroirs de Rosalie » et paru aux Éditions de Fallois/L’Âge d’homme à Paris, est une réussite éclatante, dans tous les sens du terme !