Voilà que paraît ces jours-ci aux Éditions Omnibus à Paris, établi et présenté par Jean-Baptiste Baronian, un magnifique ouvrage intitulé « Cent poèmes d’Arthur Rimbaud » qui met en équation une centaine de textes de « L’homme aux semelles de vent » avec de nombreux chefs-d’œuvre de la peinture, connus ou méconnus, dont certains sont de stupéfiantes révélations.
Compilant les paroles prononcées au seuil de la mort par des personnages célèbres allant de Jules César à Jimi Hendrix ou par d’illustres inconnus, l’édifiant petit essai de Michel Gaillard intitulé « Ils sont partis avec panache », paru récemment à Paris aux Éditions Points dans la collection « Le goût des mots » dirigée par Philippe Delerm, ouvre d’innombrables petites portes sur l’éternité si pas de l’âme, à tout le moins de l’esprit humain, et donne à voir l’essentiel des choses.