Au feu !

Membre de l’Académie Royale de Belgique et titulaire d’un MBA de Purdue University (États-Unis) ainsi que d’un doctorat en sciences de gestion (ULB), Bruno Colmant est un expert reconnu sur la scène internationale, qui enseigne par ailleurs l’économie et la finance à l’UCL, à la Vlerick Business School et à l’ICHEC. Titulaire d’une licence en journalisme (ULB) et collaboratrice de « L’Écho », Jennifer Nille, quant à elle, est une spécialiste incontestée des marchés financiers et de la structure boursière.

Sacs d’embrouilles…

Ci-devant gros bonnet de la France à fric en Françafrique, le conseiller de l’ombre Jean-Yves Ollivier est entré dans la lumière en 2013 par l’entremise d’un film documentaire sud-africain, « Plot for Peace », primé aux festivals de Galway, des Hamptons et de Palm Springs, décrivant son rôle dans la chute de l’apartheid et la libération de Nelson Mandela, avec des témoignages de Winnie Mandela, l’ex-femme de « Madiba », Thabo Mbeki, Joachim Chissano, Denis Sassou-Nguesso, respectivement anciens chefs d’État de l’Afrique du Sud, du Mozambique et du Congo, ou encore du diplomate américain Chester Crocker.

Systèmes pourris…

Juge d’instruction à Bruxelles, spécialisé dans la lutte contre les crimes d’argent – il est actuellement en charge du dossier d’UBS Belgium, comme l’a révélé « M… Belgique » –, Michel Claise s’est associé à son collègue Alain-Charles Faidherbe, qui exerça derrière le Rideau de fer, pour rédiger un polar intitulé « Les poches cousues », paru chez Luce Wilquin.

Croûtes à pâté, boules à mites et queues de poêle…

Spécialiste de la chose dans les colonnes du « Canard enchaîné » et au Collège de Pataphysique, Jacques Antet a rassemblé – avec leurs solutions – dans un recueil paru chez Larousse un millier de « Contrepèteries », ces inversions de sons transformant une phrase banale en phrase incongrue, souvent irrévérencieuse, voire salace, pour qui sait regarder et écouter autour de soi.

Cuisine d’hier…

Dans ses « Histoires de cuisines et trésors des fourneaux » superbement illustrées, l’historienne du goût Madeleine Ferrières a rassemblé, glanés de dictionnaires médicaux en traités d’agriculture, 200 textes culinaires inédits, mais aussi des recettes et des descriptions de plats ou d’ingrédients racontant ce que mangeait le peuple français entre le XVIe et le XIXe siècle, de François 1er à Napoléon III.

Au pays des dentelles de pierre…

Dans « La Picardie gothique », un joli guide orné de 170 photos en couleurs paru à Rennes aux Éditions Ouest-France, l’historien amiénois Xavier Bailly mène le lecteur à la découverte d’une quarantaine de joyaux médiévaux de l’architecture religieuse, civile et militaire en le faisant cheminer d’Abbeville à Rambures, d’Amiens à Folleville, de Beauvais à Fontaine-Chaalis, de Compiègne à Maignelay, de Saint-Quentin à Chiry-Ourscamp, de Soissons à Essômes-sur-Marne et de Laon à Braine.

« Les animaux se repaissent ; l’homme mange. L’homme d’esprit seul sait manger. » (Anthelme Brillat-Savarin)

Fort d’une expérience de plus de 50 000 consultations, le médecin-nutritionniste français Patrick Serog explique dans « Les enfants, à table ! » (chez Flammarion à Paris) que l’éveil du goût commence in utero et que « les habitudes alimentaires, bonnes ou mauvaises, s’acquièrent avec le temps… »

« On atteint plus vite le ciel en partant d’une chaumière que d’un palais. » (François d’Assise)

À l’occasion du premier anniversaire de l’élection du pape François, les Éditions Flammarion à Paris font paraître, sous la plume du journaliste et écrivain catholique français Jacques Duquesne et préfacé peu de temps avant son décès par l’éminent médiéviste Jacques Le Goff, un beau livre intitulé « Saint François » qui retrace la vie et l’œuvre de ce personnage hors norme, en montrant les diverses facettes qui ont pu motiver le choix du pape – un jésuite, qui plus est – ayant décidé de régner sous son nom.

Break estival

« Vacances sans histoires », aventure de Spirou et Fantasio, du génial André Franquin, a paru en feuilleton dans l’hebdomadaire Spirou durant 11 semaines à partir du 21 novembre 1957 et en album en 1959, à la suite du « Gorille a bonne mine ».

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