Ainsi donc, les anciens combattants des grandes grèves enseignantes de 1990 et 1996 ont ressorti leur épée du fourreau, entraînant avec eux quelques-uns de leurs jeunes collègues (si tant est qu’ils en trouvent, pénurie oblige…).
Le nationalisme flamand, c’est bien connu, se fonde sur quatre piliers : le mensonge, l’ignorance, la bêtise et la suffisance.
Le moins que l’on puisse dire, c’est que le nouveau roman noir de l’académicien belge (par ailleurs aux antipodes de toute forme d’académisme) Jean-Baptiste Baronian, intitulé « Dans les miroirs de Rosalie » et paru aux Éditions de Fallois/L’Âge d’homme à Paris, est une réussite éclatante, dans tous les sens du terme !