Guerriers implacables ou soldats de carrière prudents et dévoués, monarques ou citoyens ordinaires poussés par les circonstances au premier plan de la guerre, les maîtres de la stratégie militaire ont marqué l’histoire d’une empreinte indélébile.
Il y a décidément quelque chose de bêêêêlliqueux dans l’air du temps. Après l’ovni rétrograde Alexis Jenni, fraîchement et honteusement couronné par le Goncourt 2011 pour son apologique et indigeste L’art français de la guerre, voici le nouveau pétard mouillé du nouveau philosophe autoproclamé Bernard-Henri : La guerre sans l’aimer, ou l’art de mettre du plomb dans la tête des moutons intellos déboussolés, bêêêêhhh !