Le 15 mars 1960, parodiant à sa manière le livre de dévotion chrétienne « L’Imitation de Jésus-Christ » du moine allemand Thomas a Kempis (1380-1471), l’écrivain surréaliste belge Marcel Mariën (1920-1993), qui était aussi poète, essayiste, éditeur, photographe, cinéaste, créateur de collages et d’objets insolites tout autant que révolutionnaire d’obédiences diverses, fit projeter un film dont il était l’auteur, « L’Imitation du Cinéma », une farce érotico-freudienne anticléricale qui fit un beau scandale durant quelques jours avant d’être interdite une bonne fois pour toutes.
Vie extraordinaire que celle du « Chevalier (auto-adoubé) Jacques Casanova de Seingalt », dont le philosophe Maxime Rovere nous livre chez Gallimard une biographie passionnante de bout en bout.
Dans une déclaration fracassante au « Soir.be », le patron de la STIB, Alain Flausch, crie sur tous les toits qu’il est « dégoûté »…