Étendard personnel du roi Albert II
Après le réputé Alain Berenboom (qui désormais cherche à attirer les journalistes comme des mouches sur un…), c’est l’autre « avocat de la couronne », Guy Hiernaux, qui s’est fait hypnotiser par les lumières des médias et a balancé les confidences que lui a faites son royal client retraité : celui-ci veut mordicus éviter qu’une fois passé l’arme à gauche, sa fille Delphine ait une part du (gros) gâteau qu’il laissera.
Même s’il ne fait de mystère pour personne que l’ex-roi Albert veut que Delphine reste Boël en dépit de la réalité biologique (si cette réalité était factice, il aurait accepté le test ADN depuis belle lurette), il se murmure qu’il est furax parce que sa stratégie d’obstruction judiciaire anti-Delphine a été déballée et a fait, du coup, la une de toute la presse écrite et l’ouverture de tous les journaux télévisés.
En effet, s’il bénéficie toujours de la monarcholâtrie ambiante, l’étiquette du mari infidèle qui n’assume pas les conséquences de ses fredaines et du mauvais père qui rejette un de ses enfants pourrait bien être la seule chose qui restera de lui dans les livres d’histoire.
Après le franc-maçon, le bâtisseur, le chevalier, le capitulard et le pieux, le roi père indigne ?
IUSTITIA