Dans son quatrième livre sous-titré Carnets de route d’un visiteur, Bernard Hennebert pose une question existentielle pour le monde culturel de Ce Pays et de Ce Continent : Les musées aiment-ils le public ?
Au sceptique que je suis, les croyants angoissés par le GIEC, cette machine à broyer les scientifiques en fonctionnaires, me rétorquent souvent, le regard palpitant, pour le coup, de satisfaction : « Peu importe l’approximation ou non des prévisions, la prise de conscience écologique et le combat contre la pollution, voilà l’essentiel. »