Publié en 1962, « Les Larrons », qui vient de ressortir chez Gallimard à Paris dans un reprint de l’édition française de 1964, est le dernier roman de l’écrivain américain William Faulkner (septembre 1897-juillet 1962, prix Nobel 1949), un des poids lourds de la littérature mondiale d’avant et d’après la Seconde Guerre mondiale.
David Brault a fait paraître chez De Boeck Supérieur à Louvain-la-Neuve un essai particulièrement limpide intitulé « Les 100 premiers jours d’une opération de fusion-acquisition » dans lequel il partage son expérience, rappelle un certain nombre de fondamentaux méthodologiques et fait bénéficier le lecteur d’un large panorama de situations concrètes rencontrées par des équipes opérationnelles sur le terrain.
Docteur en histoire, Emmanuel Saint-Fuscien enseigne à l’École des Hautes Études en Sciences Sociales à Paris. Il a publié, rédigé avec Damien Baldin qui donne des cours sur l’histoire de la Première Guerre mondiale dans la même institution, un remarquable essai intitulé « Charleroi – 21-23 août 1914 » paru chez Tallandier en 2012, mais toujours disponible à la vente.
Les « Œuvres romanesques » de l’écrivaine suédoise Selma Lagerlöf (1858-1940, Prix Nobel de littérature 1909, mondialement connue pour sa nouvelle intitulée « Le merveilleux voyage de Nils Holgersson à travers la Suède ») ont été compilées chez Actes Sud, dans la remarquable collection « Thesaurus », après avoir été excellemment traduites par Marc de Gouvenain, Lena Grumbach, André Bellesort et Michel Praneuf.
Faisant le point sur des pratiques créatrices en plein essor à l’échelle mondiale, l’« Atlas du street art et du graffiti » de Rafael Schacter paru chez Flammarion à Paris en décrit les apparentements multiples (le spray can art, le pixâçao brésilien, le pop art et le land art américains, les pochoirs politiques argentins…) et les manifestations diverses, du graffiti traditionnel à l’intervention sculpturale, de l’affiche à la performance et de l’abstraction géométrique à la figuration photo-réaliste.